Présentation du yondaime Tsuchikage

|Satoshi| « -J’avais une sœur… Je, Je lui ai promis d’aller la voir à l’hôpital ; Ma sœur ! » Le jeune enfant ce redressa soudainement mains une main lumineuse l’arrêta, hormis cette sensation de main et ce blanc éclatant, Aida ne ce soudain de rien de cet instant précis. Il fit de « grands yeux » et cligna plusieurs fois, comme s’il venait de réaliser qu’il ne voyait qu’une lumière éclatante. Puis, une fois sombre, rock et pourtant très réconfortante, ce fit entendre ; le jeune blondinet aux cheveux tremper de sang, à la face légèrement abimée de gnons, aux vêtements en haillons, cachant l’un de ses yeux abimé d’une main encore tremblante… La main ce retira et ce pausa sur son épaule encore « habillée », le repoussant doucement sur le lit… L’enfant garda ca main positionnée sur son visage, fermant les paupières. D’une petite vois somnolente, le jeune Chunin osa reprendre parole : |Satoshi| « -Qui êtes… /baille/ vous ?... » Il s’endormi presque aussitôt, un visage apparus de la lumière, vieux et décrépit ; Le visage touché par le sang de ses victimes ; les membres de cette famille bourgeoise de Kusa, et quelques Kirijin qu’il avait aussi du tuer pour sauver la clef de ses espoirs. Il sourit, découvrant une dentition digne d’un chacal…

Il cacha son sourire lorsque le sol mouvant manqua de le faire tomber, al lumière avait disparue, ils étaient dans l’obscurité quasi-total, seul la lumière d’une petite fenêtre laisser entrer le jour et entrevoir l’océan… Ils étaient dans un navire et ce dirigez, là ou notre jeune héro n’aurait jamais pensé aller ; Dans l’un des cinq plus puissants villages du monde shinobi. Dorénavant, il serait sous la coupe d’Iwa et de son despote Onoki. Soudain, la porte claqua, découvrant plus de lumière et faisant grimacer le déjà vieux ; Tsuchikage. Il regarda l’homme nouvellement entrer et essoufflé ; Le regardant de haut malgré sa petite taille. L’autre ce tendit et salua « respectueusement » d’une courbette bien rapide son kage avant de parler d’une vois fortes :

|Iwajin| « -Les Assassin de Kiri ont était distancé et abattus pour la pluparts ; quant au prisonnier Misaki ; il à fini par mo… » Ils ‘interrompit, et son regard dévia sur l’enfant ce tenant debout avec difficulté, une main toujours sur son œil ; le vieillard grimaça de plus belle, ce retournant vers le Chunin de Kusa. Le silence régna un instant et ce fut donc au gamin de prendre la parole :

|Satoshi| « -Ou suis-je ? Qui êtes vous ? Vous… V… N’êtes pas de Kusa ; Papi, Ou est Papi ? Il à était blesser par les gens de la brume et, et… » Tout tremblotant, l’enfant était en sale état, ses souvenirs s’abattaient tels un raz de marée de pétrole sur un nourrisson ; Impuissant… Ne réalisant pas s’il était avec des amis, des ennemis, s’il disait vrai ou faux, hésitant même sur sa propre identité. Le vieillard avança alors d’un pas dans sa direction et attrapa le bandeau qui maintenait la mèche d’Aida de sorte à ce qu’elle ne cache pas ses yeux et tira d’un coup pour arracher le tissu… ceci n’eu pas l’effet ‘escompter ; Le blessé s’effondra et Onoki garda le bandeau en main avant de le jeter par-dessus l’épaule du Junin toujours dans l’entrée. Il sortit e sa tunique un autre bandeau et le jeta aux pieds du jeune :

|Onoki| « -Maintenant, tu t’appel Aida. Aida Dan’su. » Malgré son air bougon, grognon voir méchant, le vieux kage était heureux de voir l’enfant si tôt debout, le cœur combatif malgré son état ; Il ferait une bonne recrue en plus d’un espoir à la réalisation de ses objectifs… Il renchérit alors sans laisser l’enfant reprendre, comme tétaniser, à quatre pattes le visage proche du sol, comme s’il était aux bords des larmes, mais non, il n’y en avait pas, pas l’ombre d’une goutte. |Onoki| « -Ta famille n’est plus, et toi non plus tu n’existe plus. A par.. » L’enfant commençait a ce redresser sous ses paroles, tout en coupant la parole au vieil homme, visiblement énerver, bien moins troubler, sa main avait lâché son œil clairement hors d’état… Les poings serrer ses jambes tremblèrent de plus belle : |Aida| « -Ma sœur, m’attend à l’hôpital… Kot’ » La baffe retentissante qu’il prit le jeta par-dessus al couche dans son dos et il s’écrasa comme un grêlon en hiver, avec force et vigueur et restât au sol entendant qu’il n’avait plus de sœur, plus de parents, plus de famille, plus rien ; Et là ; Pour la première fois ; Satoshi pleura, ses yeux ce bordèrent de larmes, des larmes qui ne purent plus contenir rapidement. Mais il ne dit plus rien, ne laissa sortir aucun bruit… Son regard porté sans vraiment fixer, quelques sons lui restèrent, ceux des pas sur serein sur le bois du sol du navire, puis de la porte qui claque.

|Onoki| « -Sait tu ce que tu es ; Aida ? » Grogna le vieillard, son jeune élève opina positivement du chef arrachant un sourire aux lèvres défraichies du vieil homme qui garda cependant son intonation colérique : « -Un moins que rien, moins qu’un humain, je ne sais même pas pourquoi je perds mon temps avec toi. » il grogna un peu plus fort et frappa dans une pile de livres « -Et c’est foutus légendes, la clef de la vie éternelle, ridicule, comment ais-je pus y croire. » A nouveau il frappa dans quelque chose, ce quelque chose ce fut Aida qui fut projeté contre l’un des murs épais de la salle qui possédait, éclairée par quelques chandelles, deux étagères de livres, un bureau et un pot d’ancre avec une plume. Elle donnait sur une autre salle, dont la porte était celle d’une prison et dans celle-ci, ce trouvait ce qui avait servit durant ses deux dernières années à rendre son expérience (Satoshi Misaki) docile et persuadé de ne pas être digne de porté le nom d’humain ; Une chose sans vie et sans famille, une amnésie formatée par la torture du corps et de l’esprit quasi permanente durant plus d’un an et demi. Quelque chose pour le quel le jeune enfant à peine diplômé en tant que Chunin d’un village moindrement quotté, n’avait pas était préparer. Son dos percuta donc els roches, pourtant épaisses sur un mettre cinquante, l’une d’elle semblât ce fendiller ; Le blondinet tomba au sol, dans les vapes. Un violent coup de pied dans le ventre sembla le ramener à lui alors qu’il redresser son visage vers son agresseur…

Il avait donc dans les douze ans ce jour ou son ravisseur avait décidé d’abandonner son rat, lui-même. Onoki fit appeler l’un de ses shinobi masqué, car les lieux tant que les expériences perpétrer ici étaient tenus secrets défense, et seuls les shinobi les plus fidèle et haut gradés, donc, les forces d’interventions spéciales, constamment masqué, avait ordre de mission ici. Enfin bref, il fut donc porté par l’un d’eux et jeté dans la nature ; Sous un soleil aride et à demi conscient, voilà bien longtemps qu’il n’avait eu repas convenable, ni qu’il n’avait pus boire plus d’un gorgée à un robinet dans la journée ; Il était faible et amoindri, pourtant les stigmates de son entrainement intensif étaient bien présents, au combien visible. Il restât là prêt de deux, ou trois heures ; et fut bien heureux qu’une sorte de « caravane » ne passe par là. Le pays de la terre était un pays déchiré ; Iwa n’avait plus trop d’influence sur ses villes à cette époque. Les liens avec la jeune organisation Akatsuki et avec beaucoup d’autres organisations criminelle avait créé ce genre de convois entre les villes ; ou de riches actionnaires peu scrupuleux de l’étique, s’amusait à capturer des gens, principalement de jeunes shinobi pour en fait des sortes de gladiateur « contemporain » asservi par des technologies récente et encadré par des criminels autorisé par le village suzerain (Iwa) à résider dans le pays. Jusque là, ce petit système marchait assez bien.

Ce fut donc ce convoi, en partance pour un de ses fameux ‘’tournois’’ qui ramassa Aida…

Il est donc assez simple d’imaginer la vie qu’il vécu, les cinq années qui suivirent furent les plus difficiles ; Entraver par un harnachement sous sceau qui l’aurait tué sous le seul vouloir de l’homme qui était payer à les surveiller constamment, lui-même seconder par des dizaines d’autres shinobi. Forcé à s’entrainer, perpétuellement. Ils avaient une zone, peu vaste, qu’ils ne pouvaient quitter sans être repérer par d’autres sceau complexe ; et le condiscionnement avait lieu dès le départ, des coups, de la torture physique, encore… Et on répétait qu’ils ne pourraient être libres que s’ils obtenaient le trophée, offert par le village d’Iwa, tous les trois ans… Un bandeau de ce même village et donc, la promesse de vivre libre au sien de ce village.

Aida ne fut pas compliqué à convaincre, il était docile et comme depuis plusieurs mois, ne savait objecter que pour demander quant il pourrait aller à l’hôpital, car il avait quelqu’un à voir… Toujours il garda ses yeux caché derrière ses cheveux poussiéreux, qui à cette époque semblaient plus gros que blond ; Lui valant le surnom de « Silver » assez rapidement. La chose commença donc, tous s’entrainez, et il était de coutume pour les plus anciens de tuer ceux qui semblez avoir un potentiel trop grand… De petits tournois en petits combats ; Silver parvint à vaincre, et lorsqu’il perdait ; c’était avec classe. A la façon des Colysée Romain, les spectateurs scandaient leur avis et l’organisateur décidai de si le perdant devait ou non, mourir.

Il survécu d’abord deux ans ou il remporta un nombre certain de tournoi mineurs, car toutes les nouvelles capture avaient leurs propres circuits pour s’assurer de leur « talent » et leur « asservissement » assez grand pour de plus grandes scènes et de plus gros gains pour leurs « maitres ». La troisième année, il fut conduit au circuit normal… Cette vie de « sportif », « combat shinobi de haut niveau » lui convenait assez. Docile et obéissant, intelligent et réfléchi ; Il parvint à son premier tournoi en circuit « liberté », le fameux tournoi ou était offert cette récompense, à ce faire sortir dès son premier combat.